Ehrlichiose monocytique animale

L'Ehrlichiose monocytique animale est l'équivalent animal de l'Ehrlichiose monocytique humaine, une maladie infectieuse vectorielle dont le «germe» est intracellulaire obligatoire.



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Zoonose - Maladie infectieuse

L'Ehrlichiose monocytique animale est l'équivalent animal de l'Ehrlichiose monocytique humaine (ou «Ehrlichiose à Ehrlichia chaffeensis»), une maladie infectieuse (bactérienne) vectorielle dont le «germe» est intracellulaire obligatoire (c'est-à-dire qu'il ne peut se développer qu'au sein de certaines cellules de son hôte).
C'est l'une des dizaines de maladies vectorielles transmises par la morsure de tiques à l'homme et/ou à l'animal (maladies à tiques)  ; il s'agit par conséquent d'une zoonose.
C'est aussi une maladie émergente [1] qui touche des animaux proches de l'homme dont surtout le chien [2][3] et la chèvre[4][5].

Elle est due à une bactérie (Ehrlichia chaffeensis) qui infecte préférentiellement (tropisme préférentiel) (in vivo) les monocytes et les macrophages de l'organisme qu'elle infecte.
Cette ehrlichiose est dite «monocytique», car les monocytes (et les macrophages) des malades présentent des morulæ (ces morules sont des sortes de minuscules kystes contenant jusqu'à plusieurs dizaines de bactéries ainsi protégées du dispositif immunitaire).

Ehrlichia chaffeensis infecte rarement l'Homme, mais les infections détectées sont fréquemment graves (hospitalisation dans 40 à 80 p. cent des cas et quelquefois mortelle[6]). Sa prévalence chez l'animal est toujours mal connue. Des co-infections avec d'autres pathogènes aussi véhiculés par les tiques sont envisageables[7][8].

Symptômes

Les animaux peuvent paraître cliniquement sains ou présenter des signes cliniques identiques à ceux de l'ehrlichiose à Ehrlichia canis[9].

Espèces animales touchées

De nombreuses espèces sont certainement accidentellement infectées, d'autres l'étant plus fréquemment et/ou jouant de manière plus ou moins asymptomatique le rôle d'espèces-réservoir. La maladie se déclare le plus fréquemment en été, période où les tiques vectrices sont les plus actives.
De 1991 à 2005 la bactérie a été trouvée dans 75 départements français, sur 58 bovins, 2 hommes, 12 chevaux, 2 ongulés sauvages. Les symptômes étant peu spécifiques, la maladie est complexe à identifier.

Diagnostic

L'isolement via des cultures cellulaires est réservé à la recherche et non utilisé par le diagnostic de routine.

En phase aiguë :

Classification

Avant 1987, on pensait que la bactérie Ehrlichia sennetsu (du genre Ehrlichia, et de la famille des Anaplasmataceæ) était l'unique agent causal d'ehrlichiose chez l'Homme.

On a ensuite découvert d'autres agents microbiens de la même famille (dont Ehrlichia canis ) [17].

Différentes souches de cette bactérie ont été identifiées dans les années 1990 dont aux USA la souche Arkansas, génétiquement proche, mais différente (réponses sérologiques différentes) de Ehrlichia canis [18].

En 1991, Anderson et ses collègues ont proposé de nommer Ehrlichia chaffeensis les bactéries de la souche Arkansas (ou génétiquement particulièrement proches[19] de cette souche), désormais reconnues comme appartenant une «nouvelle» espèce, responsable de l'ehrlichiose monocytique humaine. Cette expression sera officiellement validée en 1992 (inscription sur la liste de validation no 41). Pour des raisons phylogénétiques, Ehrlichia chaffeensis a alors été classée dans le groupe génomique I de la tribu des Ehrlichieæ.

Enfin, en 2001, une réorganisation de l'ordre des Rickettsiales [20] a conduit Dumler et son équipe à supprimer la tribu des Ehrlichieæ, à reclasser le genre Ehrlichia dans la famille des Anaplasmataceæ ainsi qu'à modifier la description du genre Ehrlichia (maintenant réduit aux seules espèces du groupe génomique I).

Traitements

Pour les souches étudiées in vitro :

Chez le chien (comme dans les cas d'ehrlichiose à Ehrlichia canis)  ; après et malgré un traitement à la doxycycline, les animaux apparemment guéris peuvent rester porteurs de Ehrlichia chaffeensis et par conséquent contaminer des tiques qui pourront véhiculer la maladie.

Mesures prophylaxiques et de précaution

Épidémiologie, écoépidémiologie

C'est aux États-Unis que Ehrlichia chaffeensis a été la plus étudiée[21] mais elle n'est une maladie à déclaration obligatoire que depuis 1998.
Elle semble toujours ou presque toujours transmise par la tique Amblyomma americanum[22][23], et a pour principal réservoir le cerf de Virginie (Odocoileus virginianus) [24][25][26][27] qui peut être parasité par les les trois stades de la tique (larve, nymphe, et femelle adulte).
Avec le recul des grands prédateurs carnivores, et certains plans ou comportement de chasse (tir sélectif des trophées mâles et conservation d'une proportion artificiellement élevées de femelles) ou l'agrainage, cet animal peut être favorisé, sans que les prédateurs éliminent les animaux affaiblis par des parasitoses ou une surcharge en tiques. La fragmentation des forêts et les pratiques sylvicoles semblent d'autre part faciliter les tiques, et la pénétration du public (et des chiens) dans les parties profondes de la forêts. Chez la tique vectrice, la «transmission transovarienne » de la bactérie Ehrlichia chaffeensis semble rare ou inexistante (c'est-à-dire pas de passage directe de la mère aux œufs), mais une «transmission transstadiale» (c'est-à-dire que a bactérie est conservée lors du passage du stade larvaire à celui de nymphe, et du stade nympe à celui d'imago ou adulte).

Selon les études de séroprévalence, les rongeurs nord-américains semblent résister à la bactérie Ehrlichia chaffeensis qui n'a jamais été trouvée chez des micromammifères ou petits rongeurs tels que Mus musculus, Oryzomys palustris , Peromyscus leucopus, Rattus norvegicus, Reithrodontomys humulis , Sigmodon hispidus , ni d'ailleurs chez des lagomorphes (Sylvilagus floridanus), pas plus que chez des écureuils (Sciurus carolinensis, Sciurus niger), quoique toutes ces espèces soient fréquemment parasités par des tiques[28].
La bactérie est par contre aux USA confirmée chez des animaux plus grands et quelquefois proches de l'Homme ou domestiqués ; chiens, coyotes, chèvres, ratons laveurs et opossums, et elle a été isolée chez d'autres tiques (Dermacentor variabilis , Ixodes scapularis). Cependant, les écoépidémiologues considèrent que le Cerf de Virginie semble être le réservoir beaucoup prédominant et que les tiques autres qu'Amblyomma americanum jouent un rôle de vecteur bien moindre. Cependant, le rôle de la chèvre (et, peut-être, d'autres herbivores domestiques), comme espèce-réservoir potentielle, fait l'objet de recherches complémentaires à cause de leur proximité avec l'Homme.

Ailleurs qu'en Amérique du Nord

Faute d'études écoépidémiologique et épidémiologiques, l'ampleur de cette zoonose dans le monde est mal connue[29]. Pour évaluer l'importance réelle de l'ehrlichiose à Ehrlichia chaffeensis, d'autres études seraient indispensable pour tester plus largementles populations de tiques ou d'espèces potentiellement réservoir. La bactérie a été trouvée chez l'Homme par quelques examens sérologiques ailleurs qu'aux USA, en zone chaude ou tempérée, comme au Portugal, en Espagne, en Belgique, en Afrique (Mali, Tunisie[30]) et en Asie (Thaïlande, Chine[31]).

Amblyomma americanum semble être le principal vecteur connu en Amérique du Nord, mais on a au début des années 2000 aussi trouvé (par PCR), la bactérie pathogène dans l'organismes d'autres espèces de tique en Chine Amblyomma testudinarium et Hæmaphysalis yeni, deux tiques parasitant régulièrement le bétail ainsi pour la seconde que des lagomorphes sauvages (Lepus sinensis, Caprologus sinensis ) et des caprins sauvages (Muntiacus reevesi).

Cultures

la mise en culture est surtout envisageable sur des lignées de macrophages de chiens (cellules DH82) ou des cellules d'embryon de souris[32]. Le milieu de culture (minimal essential medium contenant 1 p. cent de L-glutamine) est enrichi en sérum de veau fœtal (5 à 12, 5 p. cent) et les cellules peuvent être incubées à 37 °C dans une atmosphère contenant ou non du dioxyde de carbone.

Critères bactériologiques

Ehrlichia chaffeensis présente les mêmes caractères bactériologiques que les autres bactéries du genre Ehrlichia[33].

  1. ) des morulas de petite taille (1, 0 à 1, 5 µm de diamètre), nombreuses (jusqu'à plus de 400) dans les cellules et renfermant d'une à cinq bactéries chacune ;
  2. ) des morulas de 2, 0 à 4, 0 µm de diamètre contenant des corps réticulés ;
  3. ) des morulas de 2, 0 à 5, 0 µm de diamètre renfermant des corps réticulés et des corps élémentaires denses ;
  4. ) des morulas de 4, 0 à 6, 0 µm de diamètre contenant seulement des corps élémentaires denses.

Les morulas n'apparaissent qu'après 35 jours de culture. Le taux de macrophages infectés (cellules DH82) est le plus élevé après 48 jours de culture. La taille du génome (calculée par électrophorèse en champs pulsé), est d'environ 1225, 8 kb.

Critères génétiques

Ehrlichia chaffeensis a de fortes similitudes antigéniques avec

Voir aussi

Liens externes

Bibliographie

Notes et références

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  10. Wijden, M. W. v. d. (1992). Equine granulocytaire ehrlichiosis. Utrecht : Faculteit der Diergeneeskunde, 1992
  11. [1] consulté 2009 03 15
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